PERsONNES INSPIRANTES 2020

jANVIER 2020

 

cerf-volant le mag janvier 2020

Pour partir du bon pied, je m’inspire de quelqu’un de bien !

 

 

 

Nelson Mandela est ma personne inspirante pour ce premier mois de l’année.

 

Premier président noir de la République d’Afrique du Sud.

 

Pour moi, il représente une incroyable personnalité : il s’est battu toute sa vie pour la réunification de son pays, pour la dignité de toute une partie de la population de son pays, bafouée, maltraitée par l’autre. Il a payé son engagement en étant emprisonné.

 

Après avoir fait plusieurs métiers, il entreprend des études d’avocat et obtient sa licence en 1942. Il ouvre le premier cabinet d’avocats dirigé par des noirs.

 

 Il a longtemps lutté contre l’apartheid de son pays de manière pacifique et non violente. Son combat contre la discrimination raciale et l’oppression de la minorité blanche l’amènera à être condamné à la perpétuité.

 

Il devient le symbole contre l’apartheid. Il est relâché en février 1990 sous la pression internationale. En juin 1991, l’apartheid est définitivement aboli. Il recevra le prix Nobel de la paix. En 1994, Il deviendra le premier président noir d’Afrique du Sud ; il mènera une politique de réconciliation nationale entre Blancs et Noirs et lutte contre les inégalités, la pauvreté, le SIDA et la défense des droits de l’homme. 

 

« Personne n’est né avec la haine pour l’autre du fait de la couleur de sa peau, ou de son origine, ou de sa religion. Les gens doivent avoir appris à haïr, et s’ils peuvent apprendre à haïr, ils peuvent apprendre à aimer car l’amour jaillit plus naturellement du cœur humain que son opposé. »
                                                                                 Nelson Mandela

 


fevrier 2020

 

Pour ce mois de février, je m’inspire de quelqu’un de bien !

 

J’ai choisi pour ce mois de février deux personnes qui ont consacrées leur vie aux autres : L’abbé Pierre et Mère Térésa.

 

Deux figures du siècle dernier, le premier est né en 1912 à Lyon en France et l’autre est née en Macédoine, le 26 aout 1910 à Skopje.

 

 

Ils ont tous deux œuvré pour ceux qui sont écartés de la société, pour leur rendre une dignité humaine en construisant des communautés autour de leurs projets, en sortant des sentiers battus.  

 

Pour tous les deux, dès leurs jeunes années, la foi en Dieu a été importante dans leur vie et les a portés dans leur projet de vie. Mais c’est pour leur valeur humaine que je les ai choisis car tous les croyants n’ont pas forcément cette force et cette envie de construire un projet social.

 

Leur dévouement, leur envie d’aider, d’améliorer la vie de leur prochain représentent pour moi le don de soi.

L’abbé Pierre et mère Thérèsa, figures mythiques, symbolisent par leur action quotidienne, tenace, l’AMOUR des autres sans condition.  

 

Tous deux ont commencé petit, avant de construire l’un la communauté d’Emmaüs et l’autre les missionnaires de la charité, ordre fondé à Calcutta en Inde. Ils se sont battus pour la dignité pour tous, en apportant une aide concrète dans des situations compliquées, en réfléchissant de façon différente pour améliorer la vie des personnes et en faisant des choses qui leur paraissaient justes.

Je m’inspire des actions porteuses d’amour envers les autres de l’abbé Pierre et de mère Thérèsa, que ce soit dans ma famille, dans mon quartier, dans une association.  Pas besoin d’effectuer des choses spectaculaires, des actions justes peuvent donner du sens comme un sourire qui peut changer la journée d’une personne.

 

 

 

 

 

 

 


MARS 2020

 

je m’inspire de quelqu’un de bien !

 

IL y a « L’homme qui plantait des arbres » de Jean Giono et la femme qui faisait planter des arbres, Wangari Maathaï pour protéger la terre.

 

 

 

 

 

 En ces temps de troubles écologiques, de grandes personnes se sont battues pour un avenir meilleur. Cette femme Wangari Maathaï fait partie de ces grandes figures.

 

 

 

Elle a fondé en 1977 au Kenya « the green belt movement », « le mouvement de la ceinture verte » projet de plantation d’arbres en Afrique. 

 

Elle a incité les femmes à planter des arbres pour subvenir à leurs besoins de chauffage et de cuisine, sans endommager davantage un environnement déjà menacé.

 

Une femme libre, biologiste, écologiste, féministe combattante dans sa vie professionnelle comme personnelle. 

 

Elle avait étendu son combat pour l'environnement à toute l'Afrique. En 2004 elle reçoit le prix Nobel de la paix accompagné de ses paroles : "La paix sur la Terre dépend de notre capacité à protéger notre environnement." 

 

Elle est décédée le 25 Sept. 2011 et laisse de nombreux écrits, un héritage intellectuel, social et d’actions concrètes. Elle est donc ma personne inspirante de ce mois-ci. Une personne qui s’est battue pour l’environnement et le droit humain avec ténacité, force et liberté.

 

La liberté de penser, d’actions sont toujours une belle inspiration.

 

 

 

En MARS, je me donne l’autorisation de penser et d’agir pour un monde plus positif, même si cela ne va pas dans le sens de mon entourage.

 

 

 

AVRIL 2020

 

je m’inspire de quelqu’un de bien !

Ma personne inspirante : Louis Pasteur.

 

 

 

 

 

Louis Pasteur est un savant français né à Dole dans le Jura en 1822, est mort en 1895. Physicien et chimiste de formation, il est devenu célèbre dans le monde entier pour avoir le premier, appliqué le concept de vaccination.

 

De 55 à 65 ans, Louis Pasteur va mettre la microbiologie au service de la médecine et de la chirurgie.

 

Si les maladies sont dues à des micro-organismes, il faut les identifier et trouver le moyen de les contrer...

 

En 1877, il étudie de près les maladies infectieuses et découvre successivement :

 

·    La cause des furoncles et de l’ostéomyélite : le staphylocoque ;

 

·    Le microbe de l’infection puerpérale : le streptocoque ;

 

      .   Le pneumocoque

 

 

 

Le matin du 6 juillet 1885, un garçon de neuf ans, Joseph Meister, venu d’Alsace et mordu quatorze fois par un chien enragé, donne l’occasion à Louis Pasteur de tester son traitement chez l’homme.
 
Louis Pasteur n’étant pas médecin, il confie au Dr Grancher le soin d’inoculer à l’enfant le traitement. En 10 jours, Joseph Meister reçoit au total treize injections de moelles rabiques de moins en moins atténuées.
 
Cette première vaccination est un succès : Joseph Meister ne développera jamais la rage et deviendra le premier être humain vacciné.

 

En 1888, l'Institut Pasteur est créé et dédié à la vaccination contre la rage

 

Pour autant, sa vie a été riche d'autres découvertes, telles que la pasteurisation, une technique de conservation des aliments, contribuant à faire de lui l'un des plus grands scientifiques de l'histoire.

 

MAI 2020

 

je m’inspire de quelqu’un de bien !

Ma personne inspirante : Hubert Reeves.

 

 

 

Hubert Reeves est une personne qui rend intelligent car il rend accessible la science à tout un chacun. Il a écrit un grand nombre d’ouvrages, fait un grand nombre de conférences pour la vulgarisation du grand public partageant ses nombreuses connaissances.

 

Il est né à Montréal le 13 juillet 1932. C’est un astrophysicien passionné.

 

Il a une vie professionnelle très riche voyageant dans le monde entier. Il a travaillé sur les éléments chimiques, sur l’origine du système solaire, sur l’origine de l’univers, sur l’astrophysique nucléaire, sur la cosmologie. Il a été chercheur et consultant à la Nasa, enseignant au Canada, en Belgique et en France.

 

Il a fait des conférences de vulgarisation astronomique dans pratiquement chaque pays d’Europe, ainsi que dans les pays suivants : Algérie, Arabie-Saoudite, Brésil, Burundi, Canada, Chili, États-Unis, Japon, Mali, Maroc, Mauritanie, Mexique, Qatar, La Réunion, Sénégal, Tahiti, Tunisie, Vietnam.

 

Ouvert à d’autres domaines que la science, il a aussi des activités musicales comme récitant et commentateur d’œuvres musicales.

 

C’est un acteur et un écologiste convaincu et il est membre de :

 

L’institut québécois de la biodiversité (IQBIO)

 

Et Président d’honneur (depuis mars 2015) de l’association Humanité et Biodiversité (qui était la Ligue ROC pour la préservation de la faune sauvage avant 2012, et dont il était auparavant président depuis 2001).

Hubert Reeves dit : « Nous éliminons aujourd’hui plus de mille fois plus d’espèces qu’avant l’époque industrielle. Cette extinction massive, la sixième dans l’histoire de la Terre, l’humanité en est la cause. Elle pourrait en être la victime.

 

L’avenir dépend largement des décisions prises aujourd’hui et demain. .À chacun sa part du travail pour redresser la barre. Prenons les choses en mains !

 

Dans le vaste programme d’actions à mettre en œuvre, toutes les bonnes volontés sont à mobiliser. Aussi suis-je devenu en 2001 le Président de la Ligue ROC pour la préservation de la faune sauvage et la défense des non-chasseurs. Elle étend son action à la préservation de la biodiversité dont l’humanité fait partie et dépend, et son nom est devenu en 2012 l’association « Humanité et Biodiversité » .
Astrophysicien, Président de
Humanité et Biodiversité.

Extrait du site officiel de Hubert Reeves. https://www.hubertreeves.info/index.html

 

JUIN 2020

 

je m’inspire de quelqu’un de bien !

Hippocrate est considéré comme le père de la médecine moderne.

 

Il est né vers 460 et mort vers 356 avant J.C. sur l’île de Cos en Grèce.

 

 

 

Il appartenait à une illustre famille de prêtes médecins.

 

 

 

Il a appris la médecine auprès de son père. Il a beaucoup voyagé, soigner avant d’enseigner à ses élèves dans son école de médecine.

 

 

 

Il envisage les maladies comme quelque chose de naturel et non surnaturelle comme la colère divine ou certaines superstitions qui règnent à son époque.

Il recommande l’observation systématique des faits avant d’énoncer des hypothèses, se basant sur l’interrogatoire de son patient.

 

 

 

Il met en lumière l’impact sur la santé des facteurs climatiques, de température, des pluies, de l’âge du malade, de son régime alimentaire…

 

Il s’intéresse aux faits : aux troubles du sommeil, à l’aspect physique du malade, de sa sueur, de ses urines, de ses selles.

 

 

 

Pour soigner ses patients, il utilisait les produits connus de l’époque c à d des matières minérales, végétales et animales.

 

Les disciples d’Hippocrate furent nombreux. Il exigeait d’eux un serment qui porte le nom de serment d’Hippocrate. Une forme de contrat avec les divinités, le maître (lui-même), le devoir envers les malades et une sorte de malédiction finale si le contrat n’était pas tenu.

 

 

 

Aujourd’hui, le serment d’Hippocrate est traditionnellement prêté par les Médecins avant de commencer d’exercer. Ce serment peut être considéré comme le principe de base de la déontologie médicale.

Voici le Serment de l’Ordre des Médecins Français :

 

« Au moment d’être admis à exercer la Médecine, je promets et je jure d’être fidèle aux lois de l’honneur et de la probité.

 

Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux.

 

Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions.

 

J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité. Même sous la contrainte, je ne ferais usage de mes connaissances contre les lois de l’humanité.

 

J’informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences.

 

Je ne tromperai jamais leur confiance et n’exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences.
Je donnerai mes soins à l’indigent et à quiconque me le demandera.                                      Je ne me laisserai pas influence par la soif du gain ou la recherche de la gloire.

 

Admis dans l’intimité des personnes, je tairai les secrets qui me seront confiés. Reçu à l’intérieur des maisons, je respecterai les secrets des foyers et ma conduite ne servira pas à corrompre les mœurs.

 

Je ferai tout pour soulager les souffrances.

 

Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément.
Je préserverai l’indépendance nécessaire à l’accomplissement de ma mission.                     Je n’entreprendrai rien qui dépasse mes compétences.

 

Je les entretiendrai et les perfectionnerai pour assurer au mieux les services qui me seront demandés.
J’apporterai mon aide à mes confrères ainsi qu’à leurs familles dans l’adversité.
Que les hommes et mes confrères m’accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses, que je sois déshonoré et méprisé si j’y manque. » 

Je m’inspire d’Hippocrate le père de la médecine moderne qui aspirait à une grande droiture morale.  

 

JUILLET

ET AOUT 2020

 

je m’inspire de quelqu’un de bien !

Ma personne inspirante :  Epicure.

 

 

 

La question centrale d’Epicure est comment atteindre le bonheur ? Ce philosophe grec né à la fin de l’année -342 J-C est mort à l’âge de 72 ans. Il a vécu dans un jardin qu’il lègue à sa mort contre l’enseignement de sa philosophie.

 

Il commence à étudier la philosophie à l’âge de 14 ans puis suit plusieurs maîtres avant de créer son propre chemin philosophique. Il est le fondateur de l’école du jardin et de l’épicurisme. C’est un auteur très fécond. Il laissera ses disciples poursuivre son enseignement jusqu’à nos jours.

 

Des rumeurs sur le jardin circulent. Ce lieu serait un lieu de débauche ! Epicurien est souvent synonyme de libertin. Mais la réalité est plus simple.

 

Sa philosophie est basée principalement sur le « contentement de ce que l’on a », de son état affectif, de sa place dans la société, de sa richesse, sur la vie communautaire avec des amis dans un bonheur stable. Le plaisir occupe une place importante dans la recherche du bonheur.

 

Son enseignement est basé sur un ordre moral avec une certaine éthique, sur le plaisir en supprimant la douleur, et sur la physique qui explique les caprices naturels.

 

Les 4 grands principes sont : les dieux ne sont pas à craindre car la physique explique les phénomènes naturels (orages, tempêtes, tremblements de terre…).   La mort n’est pas à craindre, elle fait partie du cycle de la vie. Le bonheur est atteignable. Et on peut supprimer la douleur.

 

Cette philosophie du bonheur a souvent été mal interprétée comme étant la philosophie de l’excès de recherche du plaisir ; alors que c’est plutôt la philosophie de l’équilibre. Toute action ayant des conséquences qu’elles soient positives ou négatives apportant son lot de plaisirs ou de souffrances.

 

Cette philosophie ne recommande ni l’excès de plaisir ni l’excès de privation car l’un comme l’autre peuvent provoquer des souffrances. Il a classifié les désirs de deux sortes les désirs naturels et les désirs vains.

 

Dans les désirs naturels il y a les désirs nécessaires (pour la vie, nourriture, sommeil, les besoins physiologique), pour la tranquillité du corps (l’aponie : absence de troubles corporels), pour le bonheur (l’ataraxie : la tranquillité de l’âme, par l’harmonie de l’existence) et les désirs simplement naturels (la recherche de plaisirs simples, la variation des plaisirs).

 

Dans les désirs vains, il y a les désirs artificiels (par exemple la richesse, la gloire,… ) ; il y a les désirs irréalisables (par exemple le désir d’immortalité). 

 

SEPTEMBRE 2020

 

je m’inspire de quelqu’un de bien !

Ma personne inspirante :  Marie Kondo

 

Marie Kondo est née en 1984 à Tokyo. Elle propose un apaisement mental grâce au rangement qui devient un art de vivre pour certaines personnes.

 

Cette essayiste japonaise est devenue une personnalité médiatique. Elle se passionne depuis le plus jeune âge pour les espaces intérieurs ordonnés et bien rangés. Elle a commencé avec le rangement de sa chambre d’enfant puis celui des autres pièces de la maison jusqu’à devenir une vraie professionnelle du rangement.

 

Elle crée la méthode KonMari qui organise le rangement et transforme la vie de ceux qui la mettent en œuvre. Son livre « la magie du rangement » est vendu dans le monde entier.

 

Les règles de rangement et d’organisation avec la méthode KonMari sont :

 

En premier lieu, prendre la décision de ranger, puis pour mieux visualiser les choses à effectuer prendre une photo.

 

Imaginez votre style de vie idéal.

 

Mettre tous les objets au centre de la pièce. Prenez dans vos mains les objets et demandez-vous s’il vous procure une joie réelle, si c’est non ! Donnez ! Jetez !  Débarrassez-vous de toutes les choses inutiles que vous n’aimez plus, dont vous ne vous servez plus.

 

Puis trier les affaires en cinq catégories et non par lieu : les vêtements, les papiers, les livres, les objets divers et les souvenirs.                                                                                                                               Pour chaque catégorie, faites un carton que vous gardez, un carton que vous donnez et un sac que vous jetez.                                                                                         

 

Maintenant, vous n’avez plus que des affaires que vous aimez vraiment. Vous pouvez commencer à pliez, ranger de manière méthodique.

 

Tout doit être visible.

 

La beauté nous rend heureux. Utiliser des boîtes à chaussures vides comme cloisons pour conditionner vos vêtements, mettez les objets à la verticale.

 

Mettez en boîtes !

 

Jouez sur les nuances de couleurs du plus claires au plus foncées.

 

OCTOBRE 2020

 

je m’inspire de quelqu’un de bien !

Muhammad YUNUS, le banquier des pauvres.

 

 

 

Muhammad Yunus est né le 28 juin 1940 au Bangladesh. Il est entrepreneur social, professeur d’économie et économiste. C’est la famine et la façon dont vivent les personnes près de chez lui, alors qu’il est enseignant qui le font réfléchir. A cette époque, il commence à théoriser et mettre en pratique le micro-crédit ; tout d’abord avec ses fonds propres, il devient le fondateur de la Grameen Bank qui veut dire banque des villages.

 

Il a mis en pratique après l’avoir conceptualisé le micro-crédit et la microfinance.

 

Ces micros crédits permettent de prêter de petites sommes d’argent à des personnes n’ayant pas la possibilité d’emprunter via les institutions classiques pour sortir de la pauvreté, en finançant leur projet (achat d’une machine à coudre, d’une moto pour devenir livreur, un bien durable) tout en leur permettant de rembourser car le taux d’intérêt reste raisonnable.

 

Il répond aux besoins de financement des petits emprunteurs ; leur évitant ainsi d’emprunter à des usuriers, qui ont des taux d’intérêt si élevés, qu’ils sont difficilement remboursables, obligeant les emprunteurs insolvables à travailler pour leurs créanciers. Grâce au microcrédit, plus de 250 millions de personnes ont pu créer leur entreprise et sortir d’une certaine pauvreté.

 

Pour lui, le social business est possible dès lors que l’entreprise fonctionne et qu’elle génère des profits. Les profits doivent être réinvestis pour servir l’entreprise et non nourrir des actionnaires.

 

Car la mission « d’une affaire sociale » est de résoudre des problèmes et d’aider à l’amélioration de la vie.
Le modèle de micro-crédit est devenu mondial. Il a été copié mais alors qu’il a été créé pour générer de l’activité, il est trop souvent détourné comme un crédit à la consommation. Ces crédits au lieu d’être un atout pour s’enrichir par l’activité, appauvrissent en transformant le débiteur en consommateur ainsi poussant les débiteurs à devoir encore emprunter pour rembourser le premier emprunt.

  « Tout le monde espère gagner de l'argent en faisant des affaires. Mais l'homme peut réaliser tellement d'autres choses en faisant des affaires. Pourquoi ne pourrait-on pas se donner des objectifs sociaux, écologiques, humanistes ? C'est ce que nous avons fait. Le problème central du capitalisme “unidimensionnel” est qu'il ne laisse place qu'à une seule manière de faire : rentrer des profits immédiats. Pourquoi n'intègre-t-on pas la dimension sociale dans la théorie économique ? Pourquoi ne pas construire des entreprises ayant pour objectifs de payer décemment leurs salariés et d'améliorer la situation sociale plutôt que chercher à ce que dirigeants et actionnaires réalisent des bénéfices ? »

 

Je m’inspire de Muhammad Yunus en gardant mon éthique,

 

Je garde mon ambition, ma direction !

 

 

NOVEMBRE 2020

 

je m’inspire de quelqu’un de bien !

Ma personne inspirante :  JACINDA ARDERN

 

 

 

Jacinda Arden est néé le 26 juillet 1980 à Hamilton en Nouvelle Zélande. Elle est la fille de Ross Arden, ancien policier et haut-commissaire de Nouvelle-Zélande. Elle est élevée dans la foi mormone, qu’elle quitte dans les années 2000 pour des raisons d’éthique et se qualifie comme agnostique.  

 

Elle s’engage à 17 ans dans le monde politique au parti travailliste de Nouvelle-Zélande. Elle travaille à la fin de ses études pour les leaders du parti Phil Goff et Helen Clark.

 

C’est une femme d’état première ministre de la Nouvelle Zélande depuis le 26 octobre 2017.

 

Elle est très charismatique, souriante, pragmatique, humaine tout en étant capable de prendre des décisions fortes. C’est la troisième femme à occuper ce poste de premier ministre dans son pays, la plus jeune personne à ce poste et la deuxième à donner naissance à un enfant durant son mandat de premier ministre dans le monde.

 

Son mandat n’est pas des plus facile avec des moments forts :

 

_attentats de Christchurch commis le 15 mars 2019 par un fanatique d’extrême droite contre deux mosquées 51 morts.

 

_L’éruption du volcan de White Island (whakaari nom de l’île en Maori) en décembre 2019, la petite île volcanique accueillait comme à son habitude un groupe de touristes qui s’est retrouvé piégé 18 morts, plusieurs blessés.

 

_La pandémie de la covid 19.

 

Elle devient une des femmes les plus influentes dans son pays, et même dans le monde.

 

DECEMBRE 2020

 

je m’inspire de quelqu’un de bien ! NON, ce n'est pas le père Noël mais presque !!

Michel Ocelot

 

l’homme qui aime faire rêver et réfléchir.

 

 

 

Michel Ocelot est né à Villefranche-sur-Mer sur la Côte d’Azur. Il a passé une partie de son enfance en Afrique à Conakry en Guinée, son adolescence en Anjou. Il est établi à Paris. Il dit qu’il a plus de 21 ans…

 

Ce conteur d’histoires vous emmène dans son univers, cet autodidacte a consacré sa carrière aux films d’animation. Il écrit, dessine, réalise les personnages de ses films et crée leur univers.  

 

Ses films d’animation touchent autant le jeune public des enfants que le public adulte. Il ne fait pas de film pour les enfants car personne n’aime être traité en bébé.

 

En 1980 il a réalisé « les 3 inventeurs », puis « la légende du pauvre Bossu » en 1983. C’est son film « Kirikou et la sorcière » qui l’a fait connaître en 1998 et qui lui a permis de continuer plus facilement ses autres réalisations. En 2007 il réalise avec Bénédicte Galum Azur et Asmar. Les trésors cachés de Michel Ocelot sort en DVD ce sont tous ses courts métrages avant Kirikou. En 2011 sortent « les contes de la nuit ». 

 

Kirikou et les hommes et les femmes la suite de kirikou sort en 2012. Dilili à Paris une grande histoire qui se passe à Paris.

 

Il reçoit de nombreux prix pour ces œuvres poétiques et profondes.

 

Il parle de ce qui le touche, il parle de notre société, de nos travers.

 

Avec ses formes en papier découpé, ses couleurs, une poésie se dégage de ses films. Ses héros sont souvent des personnes libres qui osent réfléchir, braver les interdits et affronter leur peur.  

 

« Je ne voudrais pas être trop prétentieux, mais il me semble que je suis un pommier qui fait des pommes. Le pommier a du mal à expliquer. J’étais ainsi dès l’enfance, aimant m’amuser, bricoler, faire de jolies choses, agencer des mécaniques innocentes et faire plaisir. » Michel Ocelot.

 

 

 

https://www.michelocelot.fr/accueil : Son site officiel.